Le boulanger, la boulangère, et le petit Macron ou « traînent les casseroles...haine...rock »

Une semaine après l'incident qui a dévoilé, rue de Besançon, la nature profonde de certains de nos élus locaux, dans cette petite ville, où tout fini par se savoir, malgré tout, j'en appelle à la conscience de chaque citoyen, à éventuellement changer de crémier, ou de boulanger, au regard des derniers événements graves qui ont troublé cette bonne vieille ville de Dole, qui plus est, validés et assumés dans la presse locale (est-elle complice?).

Faire appel à des gorilles de seconde zone, pour une « inauguration » d'un commerce essentiel, en invitant l'entre-soi des notables dolois, de cette bourgeoisie de minables ne sachant pas ni où se trouvent, ni à qui, ou à quoi servent les épiceries sociales et solidaires, et qui refuse de s'exprimer quand des administrés (hé oui Mr Fichère... des administrés... ne vous en déplaise), vous ne vous êtes pas comporté, pour reprendre vos termes par courrier, « en bon père de famille » dans la gestion de cette situation, on est en droit d'attendre mieux de votre fonction, de votre mandat...

Quand au boulanger, qui dans la Voix du jura, explique froidement « qu'il a des amis rugbymen »... !? je réponds, du fait de ma pratique du terrain sportif (certes passée) et sociale (encore et toujours), une vérité indiscutable, elle aussi : « au rugby, y'a pas que des cons, mais tous les cons y sont » !!!

Vos gorilles et vos méthodes me pousseront à marcher un peu plus, pour me ravitailler en pain, ou douceurs diverses. Vous non plus ne vivez pas dans la vie réelle, mais dans une vie phantasmée, dans un monde virtuel, celui des nantis, persuadé d'être intouchable, en les courtisant. Mais on vous tient, comme tous vos complices, par les bourses... puisque c'est là que ça fait mal et qu'il faut frapper.

Vous aussi, allez devoir traîner des casseroles pendant longtemps... Le citoyen, lui, a une mémoire, autre que celle du profit, à court terme, et à n'importe quel prix : «  Bonjour cher commerçant, bonjour victime » !!! Nous n'oublierons pas, vous venez de vous offrir, par vos actes divers et assumés, une réputation locale, dans ce qui au final, est le fondement de l'anti-jupitarisme des débats : VOX POPULI , VOX DEI … Tout seul (car vos pseudo-amis vous lâcheront bientôt), vous vous êtes mis dans le pétrin, et c'est votre choix...

Choisis ton camp, camarade, dans la lutte sociale, certains le font encravatés, d'autres n'oublient pas ni d'où ils viennent, ni leurs rêves... Vous êtes juste complice de l'injustice de ces « puissants » locaux, vous êtes inféodé, un vassal minable, qui empiffre des élus sur nos deniers, comme s'ils étaient dans le besoin. Ne dormez pas bien, réfléchissez tant à vos actes qu'à vos mots dans la presse, d'une arrogance macronienne.

En « oubliant » votre condition de travailleur utile, vous vous compromettez avec les encravatés ventrus, rétrogrades et avec leurs méthodes. En toute conscience, vous méprisez une grande partie de votre clientèle « potentielle », et si votre choix est de vivre à genoux devants les notables que vous gavez, des puissants qui au final ne le sont guère sans leurs gorilles à deux balles, qui leur permettent de s 'empiffrer encore plus, perso, et comme le disait Ernesto :

«  preferio morir de pie, a vivir arradillado »

Nous ne serons jamais d'accord, nous ne serons jamais copains (qui partage le pain en latin) , bons petits fours avec les notables, ne faites plus de pain, que de la brioche... et à jamais...

Dolois, n'oublie pas, ils vivent dans un microcosme qui n'est pas le tien, et qui te veut, et te fait du mal, l'entre-soi dolois n'en sort pas grandi, loin de là...

Hasta... Siempre...