Basic instinct
D’aucun s’étonne de la popularité d’un Didier Raoult mais aussi de l’acharnement qu’il suscite de la part des médias et des «décideurs » de notre pays...
Le personnage a une qualité majeure : il est docteur et il soigne. Il guérit aussi pendant que les déconnectés du sommet slaloment entre une décision et son contraire, gèrent en catastrophe une épidémie qu’ils n’ont pas su anticiper malgré les avertissements.
Il n’est donc pas étonnant que la cohérence, la continuité et les résultats du docteur et de son équipe remportent l’adhésion populaire... Pas besoin de faire médecine pour comprendre ça.
Les « autorités sanitaires et scientifiques » qui ont autorisé et maintenu le Mediator ou la Depakine ont décrédibilisé leurs compétences. Bien plus tueurs que la chloroquine (si toutefois la chloroquine tue !), elles n’ont pas exigé des études « randomisées » de ces produits ou mis en avant les effets sur des groupes de patients pour leur mise sur le marché et leur maintien malgré les alertes et les morts...
Pourquoi deux poids deux mesures ? Parce que le Pr Raoult est le grain de sable qui vient dérégler la stratégie gouvernementale qui semblent - avoir deux objectifs principaux :
- - nous isoler et nous confiner pour maîtriser les luttes populaires
- - offrir aux labos le marché d’un médicament lucratif (800 € l’injection du Remdesivir qui ne marche pas) et celui d’un vaccin.
Hélas pour les promoteurs de Big Pharma, le traitement marseillais (qui coûte environ 10€) est plébiscité et utilisé dans beaucoup de pays malgré le dénigrement orchestré dans les médias. Les résultats et les données sur l’épidémie de l’IHU (NDLR : Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille) se vérifient...
Le ridicule commence à rattraper notre gouvernement et l’étude à charge foireuse publiée dans la revue The Lancet va enfoncer le clou ! Ainsi que les actions en justice et la demande de compte de la part de citoyens endeuillés. Sans parler des mouvements de révolte des personnels de santé. « La médaille, poubelle bleue ou poubelle grise ? Poubelle grise, le mépris ne se recycle pas »… A cause de la gestion malsaine de cette épidémie dans notre pays, nous devons nous interroger sur la philosophie qui la sous-tend.
Ils veulent nous faire croire qu’ils se soucient de notre santé mais si cela était le cas, alors ils s’inquiéteraient de la qualité de notre nourriture, de l’air qu’on respire, de l’eau que l’on boit et faire œuvre de prévention et de solidarité généralisée pour notre bien-être et notre résistance aux maladies.
En réalité, ils nous empoisonnent, ils nous isolent, ils nous surveillent, ils nous culpabilisent et nous punissent. Notre docilité les préoccupe plus que notre santé. Ils ont raison, c’est notre obéissance qui leur permet de continuer à exercer leur pouvoir au service des rapaces et contre nous.
Bas les masques et libérons notre souffle de vie et de résistance !
L’irrévérencieuse
En complément et pour éclairer votre point de vue, la rédaction de Libres Commères vous recommande de regarder le Thinkerview de Philippe Douste-Blazy. C’est long mais le toubib dit des choses très intéressantes même s’il reste un politique. Ça chauffe à partir de 1h20.
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La Rédac'
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