Toujours pas l’ombre d’un espoir pour Agnès Verdier-Molinié. Etat stationnaire, symptômes persistants : érotomanie européiste, obsession anti-fonctionnaire, germanocomparatisme chronique, phobie de la dette aiguë, angoisse déficitaire, panique à la dépense publique, la lobbyiste ultralibérale est au plus mal. Résultat: elle vient encore de nous accabler d’un manuel de conseils sans intérêt comme un emprunt Bérégovoy. L’injection d’argent public dans l’économie pendant la crise du Covid l’a bien évidemment mise hors d’elle et, pour ne pas sombrer dans la catatonie, elle nous a pondu un opus de plus. Mais fallait pas la confiner celle-là. Faut l’obliger à braver le couvre-feu toute la nuit pour plus qu’elle chie une ligne et surtout, amis de la presse, arrêtez de lui tendre le micro, ne l’invitez plus. Qu’elle ne puisse plus afficher sa suffisance et son antifiscalisme à tout-va. « L’État doit cesser de s’occuper de santé, de social, d’éducation et de tout ce qui n’est pas régalien. » Voilà le genre de « yaka fokon» qu’elle propose, l’ancienne protégée de Christophe Barbier. Et dire qu’elle est pour qu’on repousse le départ à la retraite et qu’elle n’a que 42 ans. Faut encore compter un quart de siècle avant qu’elle la ferme. La France peut-elle tenir encore longtemps sous les conneries d’Agnès Verdier-Molinié? Qu’on la mette (c’est une idée) qu’on la mette à la place de Bruno Lemaire (c’est mieux) et qu’on en finisse! La France sombrera sans services publics mais on n’entendra plus parler d’Agnès Verdier-Molinié! Et si elle survit, qu’on la vaccine au destop!
Et pour faire durer le cauchemar...
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À propos de l'auteur(e) :
Christophe Martin
Passionné de sciences humaines mais d'origine bretonne, je mets mes études en anthropologie et mon humour situationniste au service de mon action politique et sociale.
Formateur dans l'industrie et pigiste au Progrès