Borne to kill 4 : Manifeste de la déraison ou retour vers le passé...(1)
Après avoir eu, et ça arrive, une grosse baisse entre les fêtes, l'actu locale, internationale et perso ayant visiblement signé une coalition inter-galactique dans le seul but de me nuire ( :)...), je relève la plume, certes sous les conseils du secrétaire général du politburo de Libres Commères, dont on ne doit jamais sous-estimer, ni bien entendu, cela va de soit, la pertinence tout comme la qualité des conseils, qu'on se le mette bien dans la cervelle... sinon, ce sera du plomb... Donc, avec grand plaisir, je m'exécute... moi-même.
Et cette plume, je l'ai empruntée (encore!!!... ça me coûte à force, et le capital rigole...) à un de ces nombreux volatiles présents sur le site archéologique de mon fermier de l'Arkansas, et il y en avait tellement en nombre (un peu comme pour la manif contre la réforme des retraites de l'intransigeante Mme Borne, ou Bornée au choix... mais nous y reviendrons, sur la version, qui n'a rien d'hybride, du sergent recruteur Hartman et de son jusqu'au-boutisme dans la maltraitance de ses concitoyens... Pour le bien de tous... ne cesse-t-elle de nous faire savoir!!!)...
Je m'égare et je reviens aux propos de mon fermier de l'Arkansas face à tant de volatiles sur son site archéo, juste entre son étable et l'église baptiste qu'il fréquente régulièrement afin de partager, non plus tout seul, mais en communauté, un peu comme au bistrot, le sang d'un christ exécuté par une morale et une justice comparable aux méthodes des commandos Wagner : «Mais il y a trop de cailles dans mes fouilles, et elles ont dû arriver à pied par la Chine», on croit rêver, mais ce n'est qu'un cauchemar...
Et avec Mme Borne dont la rigidité n'a d'égale que la frigidité des frigos, ainsi que leur longévité des années 50 (elle ne subira pas les sanctions qu'elle ordonne…), pas moyen de s’entendre : elle n'écoute qu'avec son oreille droite, du coup, elle nous brouille l'écoute qu'elle est sensée avoir pour la « piétaille » qui manifeste en nombre contre ses dictats qui ne supportent aucune remarque ni compromis... Mais sa chevalerie nous charge, comme à Crécy... c'était en 49.3, je crois... mais je ne crois plus en grand chose.
Juste sûr que le capital et ses valets veulent nous saigner encore plus, tant que c'est possible... Et l'aspirant Baleine, aspire, espère puis expire...
Cette première sinistre était annoncée (cf « Foule mental racket » sur le site de Libres Commères... on se fait de la pub, on n'en attend pas ni des puissants, ni de la municipalité, comprenne qui veut...) et sur ce, en vous souhaitant sincèrement le meilleur pour cette nouvelle année de merde qui se profile non pas à l'horizon mais à nos bottes, tenez bon, un peu comme Mathusalem, ou les anounaki de Summer qui régnèrent pendant 13 000 ans... c'est vrai que 64 ans à côté, ça fait un peu miséreux...
Si nous le sommes, c'est la conséquence de vos choix...
Tenir bon, LUTTER, de la révolte, et de l'audace... encore et toujours, et savoir dire « merde ça suffit, maintenant on partage ».
Hasta … Siempre...
(1) : en 1910 Jaurès accepte 65 ans pour le départ à la retraite. Il souhaitait 60 ans, mais les mêmes arguments de la même classe possédante, expliquaient que cela n'était pas raisonnable. Comme si le capitalisme l'était...
À propos de l'auteur(e) :
Miguel Staplinkrust
Révolté de nature et pirate indépendant, le rock et le blues m'ont toujours aidé à cheminer. Passionné d'Histoire, de préhistoire aussi, d'humanité en fait, dans un monde qui en manque cruellement, la pratique du rugby m'a convaincu de l'importance de la solidarité, du combat, et par conséquent de l'espoir... Aujourd'hui, à travers Libres Commères, j'essaye de partager ma vision d'un monde que je continuerai de rêver plus juste, malgré tout... Hasta... Siempre
Révolutionnaire en retraite
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