Borne to kill (suite et fin, faisons tout pour)
49.3, c'est un grosse fièvre... Tout le pays en est malade, les rues sont investies spontanément par un peuple qui souhaite juste se faire enfin entendre par un exécutif sourd, têtu et méprisant depuis de nombreux mois, et être, ce serait la moindre des choses, RESPECTÉ... Le respect, vous le savez, il est mutuel, ou il n'est pas, et tout a été fait par ce gouvernement pour arriver à cette situation explosive.
Entamer un bras de fer social quand on n'a ni la carrure ni la légitimité est tout simplement de l'inconscience et du cynisme politique. Penser pouvoir bafouer la démocratie, sans qu'il n'y ait de réponses n'est pas une « erreur », c'est un calcul, qui en dit long sur les motivations profondes de ce gouvernement et du président qui l'a mis en place. Ils souhaitent le chaos...
Les mensonges éclatent au grand jour : cette réforme des retraites, on vient de l'apprendre, se veut répondre aux agences de notations... Après les cabinets de conseils, qui eux coutent un pognon de dingues et qui sont d'une inefficacité intergalactique, on voit bien qui, au final « fait » la, ou les lois...
Et la violence des frigos vides, de la précarité qui gonfle, de l'aide alimentaire qui devient la norme, de l'inflation qui, au quotidien, est une gifle pour le plus grand nombre, des services publics agonisants, de la complicité des grands médias, si bienveillants avec les puissants ? Et en plus on peut y rajouter de nouveau une crise de la finance. Trop, c'est trop.
Basta, vous pensiez nous museler avec l'arme de la misère, Mme Borne, et vous, vous aboyez de plus en plus... Vous aurez ce que vous méritez, un peuple digne et déterminé, uni face à vos méthodes. Faites vos valises, car assumer ce bilan ne va pas être chose facile, et le peuple n'est pas disposé à se laisser faire et entend LUTTER. Votre énieme 49.3 ne passera pas, le bras de fer social se mute en bras d'honneur à un pays fatigué par tant de mépris, mais nous saurons faire front.
Démissionnez, Mme Borne, et que l'apprenti dictateur de l’Élysée retourne au monde de la finance, après une dissolution de l'Assemblée que le peuple français souhaite et attend. Il est grand temps de changer nos institutions. On pourrait aussi en cotisant, leur offrir un aller simple pour la Corée du nord...
Une autre manière de rentrer dans l'Histoire pour vous tous... Mais filez, il est encore temps, ne laissez pas enfler la colère, la fronde gronde, arrêtez la maltraitance sociale qui est votre étendard depuis trop longtemps...
Camarades, courage, c'est maintenant... Tous dans la rue, ils l'ont voulu, ils l'auront...
Hasta...Siempre...
À propos de l'auteur(e) :
Miguel Staplinkrust
Révolté de nature et pirate indépendant, le rock et le blues m'ont toujours aidé à cheminer. Passionné d'Histoire, de préhistoire aussi, d'humanité en fait, dans un monde qui en manque cruellement, la pratique du rugby m'a convaincu de l'importance de la solidarité, du combat, et par conséquent de l'espoir... Aujourd'hui, à travers Libres Commères, j'essaye de partager ma vision d'un monde que je continuerai de rêver plus juste, malgré tout... Hasta... Siempre
Révolutionnaire en retraite
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